LANSES affirme qu’il n’existe aucune preuve que les animaux domestiques peuvent transmettre le virus à l’homme. L’OIE (Organisation mondiale de la santé animal) relate les propos suivants : La propagation actuelle du COVID-19 est le résultat d'une transmission d'homme à homme. À ce jour, rien ne prouve que les animaux de Lepays soviétique a annoncé, ce mercredi 31 mars 2021, avoir homologué le premier vaccin contre la Covid-19 créé pour les animaux carnivores. Nommé Carnivac-Cov, ce vaccin serait efficace Lespersonnes atteintes par le Covid-19 peuvent transmettre la maladie à leurs chats et leurs chiens, montre une étude publiée vendredi. Le nouveau coronavirus est une zoonose, une maladie Levirus a pu se retrouver chez le chien, mais ce n'est pas pour ça qu'il va se multiplier et être une source de contamination. Il va sur le chien et il meurt", a répondu Natacha Harry en Létude, évoquée sur le site de Ouest France, démontre que les chats sont davantage porteurs au Covid-19 et donc exposés à celui-ci que les chiens. Les cochons d’inde, les hamsters, les lapins et Lecoronavirus dont on parle actuellement dans les médias est le coronavirus 2019-nCov. Cela peut toutefois arriver que le coronavirus du chien donne lieu à des diarrhées plus importantes, voire Ceuxci confirment que les coronavirus pouvant toucher les animaux sont différents du Covid-19 et ne peuvent pas être transmis à l'homme. Toutefois et par mesure de précaution, il est conseillé aux propriétaires d'animaux d'éviter les contacts bouche et nez, selon la porte-parole de M. Clerfayt, Pauline Lorbat. Lefoyer de l’épidémie étant le marché d’animaux de Wuhan, les scientifiques pensent que ce coronavirus pourrait avoir été transmis par un animal. En 2002, le Sras avait pour origine la civette. Plus tard, le Lerisque d'attraper le virus qui cause le Covid-19 par le biais d’un colis qui a été déplacé, acheminé et exposé à des conditions et des températures différentes reste également faible. Des études indiquent que le coronavirus survit sur des surfaces uniquement pendant une période courte. Nos transporteurs ont également mis en place des procédures de Alorsque les informations liées au COVID-19, la maladie causée par le coronavirus, évoluent de jour en jour, Carol Winner souligne que, pour l’instant, les études montrent que le virus peut WXBUl4. Colline Brassard, docteur vétérinaire et doctorante en anatomie fonctionnelle et en archéozoologie au Muséum national d’histoire naturelle MNHN, explique les conséquences d'une contamination de votre animal de compagnie, qu'il soit un chat, un chien ou un furet, si ce dernier est touché par le nombreux propriétaires de chats et chiens s’inquiètent que leur boule de poils préférée puisse ramener plus que la poussière dans laquelle elle vient de se rouler. L’inquiétude qu’elle puisse aussi véhiculer le virus dont on essaie de se tenir éloignés, a poussé certains à adopter des mesures extrêmes et dangereuses. Par exemple, certains désinfectent leur compagnon après la promenade à l’alcool ou à l’eau de javel, des produits hautement toxiques et à aussi - TRIBUNE. "Biodiversité il faudra tirer les conséquences de cette crise"Rappelons d’abord que les "coronavirus" représentent en fait un grand nombre de virus à couronne différents, parfois très fréquents, et que l’on retrouve chez beaucoup d’espèces animales. Le chat possède ses propres coronavirus, certains étant très virulents voire mortels, comme le coronavirus entérique félin FECV ou le virus de la péritonite infectieuse féline, PIF pour les intimes FIPV. Ces virus félins ne sont contagieux que pour les chats. De la même façon, certains autres coronavirus sont spécifiques à d’autres certains coronavirus, en particulier ceux de la chauve-souris, peuvent aussi infecter l’homme c’est le cas des coronavirus responsables du SARS et du MERS, ou encore de SARS-CoV-2, lui-même responsable de la maladie Covid-19.Les animaux peuvent-ils contracter le SARS-CoV-2?Actuellement, on sait très peu de choses sur le comportement du virus SARS-CoV-2 chez d’autres espèces animales. Or, savoir si les animaux de compagnie qui partagent notre quotidien peuvent être des vecteurs de contamination est un enjeu crucial de santé publique. Les chats et les chiens étant en contact étroit avec nous, il est important de comprendre leur sensibilité au faut différencier deux situations celle où ils ne seraient que des hôtes "accidentels" de celle où ils permettraient au virus de se multiplier et de se propager plus facilement dans une population. Dans le premier cas, comme des objets inertes, chiens et chats peuvent accrocher des particules du virus par contact avec des objets ou personnes contaminées, mais sans qu’il ne se réplique et ne puisse être excrété par l’animal. Cette contamination "passive" est liée à la possibilité de survie du virus sur un substrat, d’une durée très variable en fonction de paramètres comme la température ou l’humidité. Il n’y a pas encore de donnée quant à la survie sur les poils d’animaux. Celle-ci pourrait aller de quelques minutes à quelques heures, si l’on en croit le docteur vétérinaire Ludovic l’autre cas, si les animaux peuvent être infectés même si porteurs sains et s’ils sont capables de répliquer le virus, ils seraient alors des réservoirs du virus, susceptibles de les excréter et de les transmettre à d’autres individus de la même espèce, voire à l’homme. On notera ici que la présence d’un récepteur transmembranaire au virus ACE2 est attestée chez de nombreuses espèces animales, dont le chien et le chat, mais ce n’est pas une condition suffisante pour permettre l’infection de ces animaux, car d’autres éléments de la cellule sont aussi nécessaires à la réplication du cas de contamination d'animaux de compagnie sporadiquesQuelques rares cas de contamination d'animaux de compagnie par le SARS-CoV-2 ont été rapportés. Ces cas restent cependant extrêmement sporadiques et isolés, et des éléments contextuels sont à prendre en compte, comme l'a souligné l'American Veterinary Medical Hongkong, deux chiens en contact avec des personnes infectées auraient été testés positifs au virus. Cependant, les canidés n’ont pas présenté de signe clinique de la maladie. Pour le premier chien, un chien poméranien de 17 ans, seule une faible quantité de matériel génétique a d’abord été détectée, dans la bouche et le nez. Des anticorps dirigés contre le virus ont finalement été identifiés, mais le virus vivant n’a pas pu être isolé. Le chien est depuis décédé, probablement d’autres troubles liés à son âge très avancé aucune autopsie n’a été faite.Le deuxième chien, un berger allemand de 2 ans a été testé négatif quelques jours après le premier test, et l’autre chien du foyer n’a pas été contaminé. Le 27 mars, c’est le cas d’un chat qui a été reporté par les autorités belges. Le chat belge, dont la propriétaire était diagnostiquée positive au Covid-19, avait des symptômes respiratoires et des diarrhées, mais il se porte mieux un tigre a été testé positif au SARS-CoV-2 dans un zoo à New York dimanche 5 avril, probablement après s’être contaminé auprès d’un gardien malade, et six de ses congénères présentent des symptômes de la point sur les études scientifiques en coursCes cas sont suspects mais ne permettent pas de conclure quant à la dangerosité de la transmission de l’homme à l’animal ou entre animaux et encore moins de l’animal à l’homme. Les études qui s’intéressent à cela, de manière expérimentale, sont encore très chercheurs chinois du laboratoire de biotechnologies vétérinaires et du laboratoire national de haute sécurité pour le contrôle et la prévention des maladies animales de la ville de Harbin se sont demandés si le virus SARS-CoV-2 pouvait se transmettre de l'homme à d’autres espèces animales, dans des conditions expérimentales avec des animaux vivants. Cela permettrait d'identifier de potentiels réservoirs d'infection et d'adapter les mesures de sécurité sanitaire en résultats de l'étude sont disponibles sur le serveur bioRxiv, un service de publication de travaux non encore publiés ni corrigé par les pairs, donc à étudier avec résumé, Jianzhong Shi et ses collègues ont constaté que les furets et les chats sont très sensibles au SARS-CoV-2, les chiens faiblement et les animaux de basse-cour porcs, poulets et canards ne sont pas sensibles au virus. Chez les chats, le virus se transmettrait aux autres chats par des gouttelettes cette étude, les chercheurs chinois ont mené plusieurs expériences afin de tester les capacités de réplication et de transmission du virus et l’apparition de symptômes du Covid-19 chez ces différentes espèces animales, les jours suivant une inoculation intranasale par de fortes doses de deux souches du SARS-CoV-2 prélevées chez des malades humains.Les chats seraient relativement sensibles au SARS-CoV-2Dans l’une des expériences de cette même étude, cinq chats ont été inoculés. Trois d’entre eux ont été placés dans des cages individuelles et isolées. Trois chats naïfs » non inoculés ont été placés dans des cages individuelles et isolées, chacun à proximité de la cage d’un chat inoculé, afin d’étudier la possibilité d’une transmission du virus des chats inoculés aux chats chats étant agressifs du fait des conditions de captivité, les chercheurs ont dû se rabattre sur des prélèvements d’excréments prélèvements intra-rectaux seulement, car les prélèvements nasaux réguliers étaient difficiles. L’analyse des excréments a révélé la présence d’ARN viral chez les trois chats inoculés entre J+3 et J+5 après l’inoculation, mais aussi chez un des trois chats naïfs non inoculés mais exposés à un chat inoculé. Ce chat naïf contaminé par contact n’a développé aucun tous les chats inoculés, de l’ARN viral et du virus vivant infectieux ont été détectés plusieurs jours après le début de l’expérience J+6 ou J+12 dans les voies respiratoires supérieures voile du palais, amygdales et trachée, mais pas dans les poumons. La même chose a été constatée pour le chat initialement naïf mais contaminé par contact, indiquant que la transmission par gouttelettes respiratoires s’est produite pour une des trois paires de chats inoculé/naïf. Le virus n’a pas été détecté dans aucun organe ou tissu des deux autres chats naïfs exposés. Les trois chats inoculés et le chat naïf contaminé ont développé des anticorps contre le mêmes conditions expérimentales et tests ont été reconduits sur 10 chats juvéniles âgés de 70 à 100 jours et ont aussi suggéré que le virus pouvait se transmettre entre les chats par les gouttelettes respiratoires. L’examen histopathologique à J+3 a révélé des lésions massives des muqueuses nasales et trachéales, et des poumons des deux chats, suggérant que les jeunes sont plus permissifs que les étude suggère ainsi que les chats seraient sensibles au SARS-CoV-2 et pourraient, mais peu efficacement, transmettre le virus à d’autres des furets chez qui une immunité s'est mise en placeUne autre série d’expériences, toujours rapportée dans le papier de Jianzhong Shi et ses collègues, suggère que les furets seraient un bon modèle animal pour l’évaluation de traitements antiviraux ou de vaccins contre le Covid-19. En effet, il y aurait réplication du virus dans les voies respiratoires supérieures cornets nasaux, palais mou et amygdales pendant huit jours au maximum. La réplication ne se fait pas dans les poumons même dans le cas d'une inoculation intratrachéale.Deux des six furets inoculés ont développé des symptômes fièvre et perte d’appétit à J+10 et J+12. Une réplication dans le tube digestif semble aussi avoir lieu, puisque de l'ARN viral est retrouvé dans les excréments. Cependant le nombre de copies d'ARN viral est nettement inférieur dans ces prélèvements que dans les prélèvements nasaux, et ils ne contiennent pas de virus infectieux. Une immunité contre le SARS-CoV-2 s’est mise en place chez tous les le coronavirus responsable du SARS déjà, une étude avait suggéré que les chats et les furets domestiques pouvaient transmettre le virus à des animaux sains qui vivent avec eux. Pour cela les chercheurs avaient inoculé une dose concentrée de virus collectée chez un patient humain décédé du SARS directement dans la trachée de chats. Ensuite les chercheurs avaient fait des prélèvements à différents niveaux des voies respiratoires supérieures nez, trachée et dans le rectum à différents moments après l’infection. Aucun signe clinique n’avait été observé chez les chats, contrairement aux furets léthargie, mais tous étaient porteurs du virus. De plus aucun passage de l’animal à l’Homme n’avait été chiens seraient moins sensiblesDans leur étude, Jianzhong Shi et collègues ont aussi inoculé cinq beagles de trois mois, et les ont placés dans une pièce avec deux beagles naïfs. De l’ARN viral a été détecté dans les excréments de deux des chiens inoculés quelques jours après J+2 et J+6. L’un de ces chiens a été euthanasié à J+4 mais l’ARN viral n’a été détecté dans aucun organe ou tissu prélevé sur ce chien. Le virus vivant, quant à lui, n’a pas été détecté. Seuls deux chiens inoculés par le virus ont produit des anticorps contre le virus examen à J+14. Les chiens inoculés ne semblent pas avoir transmis le virus aux chiens naïfs. Ces résultats indiquent d’après les auteurs que les chiens ont une faible sensibilité au les porcs, poulets et canards, l'ARN viral n'a été détecté dans aucun des écouvillons prélevés sur les animaux inoculés ou les animaux de contact naïfs et tous les animaux étaient séronégatifs à J+14. Ces résultats indiquent d’après les auteurs que les porcs, les poulets et les canards ne sont pas sensibles au le 4 avril, ce sont les résultats d'une autre équipe chinoise qui sont disponibles sur le serveur bioRxiv, suggérant que la population féline de Wuhan a été contaminée pendant l’épidémie. Qiang Zhang et ses collègues ont mesuré le taux d'anticorps sériques dirigés contre le domaine de liaison au récepteur RBD du SARS-CoV-2 par dosage immunoenzymatique indirect ELISA chez des chats de la ville de Wuhan. Quinze échantillons sur les cent deux réalisés depuis l’apparition de la maladie se sont avérés positifs 14,7%. Onze de ces échantillons positifs contenaient des anticorps neutralisant le virus. Ces chats auraient pu être contaminés par l'Homme, mais il n'y a pas de preuve formelle en ce les chats, des études aux résultats nuancésLes résultats obtenus par les équipes de recherche chinoises sur les chats sont très intéressants, mais bien sûr potentiellement inquiétants et les chercheurs encouragent la mise en place de mesures de quarantaine et d’hygiène strictes aussi pour les animaux de convient cependant d’être conscients des limites de ces études. Même si le portage par le chat semble être avéré, les modalités de transmission de l'homme à l'animal et entre les animaux sont encore obscures. Dans l'étude de Jianzhong Shi et collègues, les effectifs sont petits 8 chats adultes et 10 juvéniles, et les chats ont été inoculés avec de fortes doses du virus, directement dans le nez, ce qui ne correspond pas à des risques de transmission réels de propriétaire à chat. L'effet de cette dose d’inoculation, en particulier, mériterait d’être exploré. De plus, le papier ne précise pas quelle était la disposition des cages, ce qui aurait pu nous éclairer sur le mode de transmission exact gouttelettes, fèces, urine. Seul un chat sur les trois naïfs a contracté le virus, ce qui suggère une transmission somme toute peu plus, aucune des deux études évoquées plus haut ne s’est intéressée à un retour de contamination de l’animal à l’homme il n’est pas dit que les animaux inoculés ou contaminés par contact soient contaminants pour nous. Il n’y a en effet, à ce jour, aucune preuve directe que les chats positifs au virus sécrètent assez de virus pour le transmettre à des études préliminaires appellent donc surtout à la poursuite d’autres études expérimentales, à plus grande échelle, pour préciser les modes de transmission d’Homme à animal ou inter-animale ou même de l’animal à l’Homme.N'abandonnez pas votre animal de compagnie, protégez-leCes dernières découvertes ne doivent en aucun cas vous conduire à envisager d'abandonner votre animal par peur qu'il ne vous communauté scientifique s'accorde d'ailleurs à dire qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter outre mesure, puisque les chats ne semblent pas être un facteur majeur dans la propagation du virus, qui est surtout liée à la transmission d’humain à humain. C’est d’ailleurs la position que tient l'Agence nationale de la sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail ANSES et l'Organisation mondiale de la santé animale OIE.Puisque mieux vaut prévenir que guérir, il est recommandé de séparer autant que possible les animaux de compagnie des personnes atteintes, de limiter les sorties, et de respecter des mesures d’hygiène élémentaires éviter les léchages, se laver les mains après un contact avec l’animal et nettoyer régulièrement gamelles et litière, le savon étant le meilleur désinfectant puisqu’il détruit la membrane du se pourrait bien que de futures études révèlent qu'en protégeant nos compagnons à poils, nous nous protégeons aussi. Garder son animal près de soi pourrait permettre de limiter la propagation du virus, alors que l'abandonner ne ferait qu'augmenter sa article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original. Un chien attrape la variole du singe après avoir partagé le lit de ses maîtresLe lévrier italien appartenant à un couple d' hommes parisiens est le premier cas rapporté d'un chien ou d'un chat domestiqué ayant attrapé le Et oui d'où l'importance de penser à faire vacciner ses animaux. On arrête pas d'alerter, les gens restent inconscients. zoophilie? Le 15 août 2022 à 130853 zoophilie? Non, mais je suis circonspect sur le fait que l'article mette en avant le contact des draps ou des couvertures du lit en première cause un lien indirecte donc.Sachant que cette maladie se transmet par contact direct pourquoi ne pas privilégié d'abord, les probables caresses ou léchouilles dont les chiens sont si friands ?Cela parait plus plausible. Comme quoi, de simples contacts peuvent transmettre la maladie. Logiquement, ils devraient faire des analyses médicales pour savoir si le chien a été violé ou non et agir en conséquence. Le 15 août 2022 à 133500 Logiquement, ils devraient faire des analyses médicales pour savoir si le chien a été violé ou non et agir en propriétaires étaient consentants Ça fait des mois qu'on répète que la variole du singe n'est pas une MST et n'est pas une maladie qui restera confinée aux homosexuels mais comme toujours beaucoup n'entendent que ce qu'ils veulent entendre. L'information est tellement proche, tellement accessible à notre époque mais non, Covid, variole du singe, même combat. Si la variole du singe se transmettait par simple contact physique, il y aurait des centaines de millions de personnes contaminés. Ce n'est pas le cas. Quand a la SPA, elle devrait porter plainte pour maltraitance animal car il n'y a pas 36 façon dont le chien a put attraper cette maladie. Le forumeur plus haut qui est déjà en train de baver à l'idée de prendre sa dose de vaccin. pire qu'une drogue. Des gens parfaitement sains. Le 15 août 2022 à 143225 Ça fait des mois qu'on répète que la variole du singe n'est pas une MST et n'est pas une maladie qui restera confinée aux homosexuels mais comme toujours beaucoup n'entendent que ce qu'ils veulent entendre. L'information est tellement proche, tellement accessible à notre époque mais non, Covid, variole du singe, même va leur faire tout drôle quand ils vont la choper au sport et qu'ils devront expliquer ça à leurs potes ensuite. Le 15 août 2022 à 144413 Si la variole du singe se transmettait par simple contact physique, il y aurait des centaines de millions de personnes contaminés. Ce n'est pas le cas. Quand a la SPA, elle devrait porter plainte pour maltraitance animal car il n'y a pas 36 façon dont le chien a put attraper cette plus compliqué que ça, c'est les boutons et les plaies qui transmettent la maladie. Donc quand on parle de sueur on parle de liquide ayant été en contact avec les plaies... Donc si les draps sont souillé c'est pas tout simplement du liquide présiminal resté sur les draps. Message édité le 15 août 2022 à 154234 par PandaZoto Qu'est-ce qui pourrait expliquer autrement en plein été caniculaire des draps sales que de mystérieuses déviances sexuelles après tout. Une bonne enquête pour le limier. Le 15 août 2022 à 143225 Ça fait des mois qu'on répète que la variole du singe n'est pas une MST et n'est pas une maladie qui restera confinée aux homosexuels mais comme toujours beaucoup n'entendent que ce qu'ils veulent entendre. L'information est tellement proche, tellement accessible à notre époque mais non, Covid, variole du singe, même faut arréter l'hystérie quand même et comparer ce qui est premiers cas de covid ont été détecté en décembre et 4 mois plus tard on confinait la premiers cas de cette variole remonte au mois de mai et 4 mois plus tard en Aout on en est à combien de contaminés et de Morts ? Alors bon, on se calme... Heureusement que la variole du singe n'est pas le COVID, parce que notre système de santé est en ruines. Pas toi poupeto J'espère qu'il va s'en sortir, je veux revivre cette sensation agréable sur mes boules Le 15 août 2022 à 144413 Si la variole du singe se transmettait par simple contact physique, il y aurait des centaines de millions de personnes contaminés. Ce n'est pas le cas. Quand a la SPA, elle devrait porter plainte pour maltraitance animal car il n'y a pas 36 façon dont le chien a put attraper cette transmission c'est quelque chose de complexe. Au sein du mode de contamination "contact physique", on peut avoir des virus et bactéries qui se transmettent très facilement COVID et d'autres qui auront beaucoup plus de difficultés et qui nécessiteront un contact physique long, rapproché et répété. Message édité le 15 août 2022 à 163318 par Maghawear J’ai même pas envie de savoir ils ont fait quoi au chien Le 15 août 2022 à 204729 J’ai même pas envie de savoir ils ont fait quoi au chien ça me semble evident le chien comme ces chinois Victime de harcèlement en ligne comment réagir ? Ce qui se passe dans la tête d’un chien Phébus ou Dolly ont l’habitude de passer la journée à la maison en attendant le retour du maître. Le chien est un animal social, il a besoin de la présence du maître et du contact avec ses congénères » précise le docteur Marianne Aliaga. Phébus ou Dolly voit donc le confinement d’un bon œil, dans la mesure où son maître préféré est confiné avec lui à la maison. C’est la promesse de plein de caresses et d’attentions. Le chien sort en promenade, aujourd’hui comme hier, aucun changement. Le maître a le droit de sortir son chien d’où nombre de vidéos drôles où l’on voit un chien épuisé d’avoir été baladé par tout le quartier. On croise moins de chiens, en revanche, ils sont promenés moins longtemps et dans le respect de la distanciation sociale. Il y a moins d’interaction entre les chiens. Ils ne sont plus lâchés dans les parcs ou les bois, d’où une tristesse chez certains animaux » continue la vétérinaire. Ce qui se passe dans la tête d’un chat Mario ou Nina se retrouvent obligés de partager la maison avec leurs humains. Le chat est un animal territorial » rappelle Marianne Aliaga. Même attaché à son maître, il doit gérer aussi la question des mètres carrés. Si Mario est très attaché à son maître, il sera ravi de l’avoir H24 à la maison. On le voit à sa demande de câlins plus importante que d’ordinaire. En revanche, si Nina prend ses distances, c’est qu’elle a du mal à trouver sa place dans la redistribution de l’espace. Si à 16h elle a pour coutume d’aller sur le canapé, elle sera déstabilisée d’y trouver quelqu’un Charles, 15 ans, couché devant la télé. D’elle-même elle mettra en place de nouveaux rituels, aucune inquiétude. Ce n’est pas un hasard si le chat vit davantage la nuit en ce moment, courant, jouant quand les humains dorment. En revanche, un chat qui ne sort pas n’en aura pas plus envie en ce moment J’ai eu beaucoup de demandes de harnais pour chat au début du confinement les maîtres disaient que cela ferait du bien au chat de se promener » raconte la vétérinaire. C’est plutôt le maître qui a des fourmis dans les pattes. Ce que l’on peut demander au vétérinaire Si le vétérinaire est supposé n’intervenir que pour les urgences, on peut tout de même lui demander une castration ou une stérilisation, les jeunes animaux étant dans la période des amours. Ne pas stériliser un animal, c’est assurer des nuisances marquages, urines, vociférations aux maîtres qu’ils ne seront pas en mesure d’assumer pendant une telle période. Ne pas hésiter à faire stériliser son chat ou son chien. Chez le véto en ce moment, on peut acheter des aliments, demander des conseils si l’animal mange plus que d’habitude ou a des problèmes digestifs. S’il est triste. S’il a des problèmes de propreté soudaine. Les maîtres étant plus présents, ils remarquent des choses qu’ils ne voyaient pas avant et s’en inquiètent » remarque la vétérinaire. D’où plus de consultations au téléphone, de visu, s’occuper de son animal étant une manière aussi de calmer l’angoisse lie au confinement et au coronavirus. D’ailleurs, à l’heure actuelle, rien ne dit que l’animal puisse être le vecteur de la maladie, ni la transmettre ni l’attraper. Inutile de le frotter avec du gel hydroalcoolique ou de l’eau javellisée coma et empoisonnement au bout du compte. Votre animal domestique risque surtout, par sa présence, ses câlins, de vous apporter bien-être et détente. Ces temps-ci, les associations enregistrent beaucoup de demandes d’adoption. A lire Ces animaux qui nous apprennent à vivre », les plus belles histoires de coeur entre l’homme et l’animal, de Claire Aubé et Cécile Sylvestre éditions Leduc A lire également Confinement et télétravail 35 clichés qui témoignent d’un co-working hilarant entre animaux et humains Confinement une forte demande de location » de chiens alarme les associations 11 bonnes raisons d’adopter le comportement de notre chat pendant la quarantaine